En attendant Ithaque ...

Après s'être séparé de ses compagnons non mloin des murs d'Athène , Arménios décide de passer une nuit sur place avant d'entreprendre le voyage vers microthalos .
Il a ainsi tout le temps de se préparer un bivouac protéger du soleil!!

Ensuite il fait la route en essayant de ne pas passer par les chemins et en restant aus aguets histoire de ne pas rencontrer de garous .

Le voyage d'Arménios est sans histoire jusqu'à Microthalos. Les chemins détournés lui font prendre deux nuits complètes de voyage et, prudemment, il arrive au village le soir de la troisième nuit.

Ses compagnons l'ont laissé partir pour faire route, de leur côté, en direction d'Ithaque. Ils sont certainement loin maintenant.

La lueur de la lune éclaire le village familier et tranquille sur sa colline immobile et silencieuse. Les villageois, harassés par une journée de travail aux champs (nous sommes au début de l'automne) sont déjà couchés. Tout est calme et paisible.

Il y a de la lumière à la fenêtre de l'immense maison du sage Herkantos et un bruit de musique lointain, imperceptible pour les oreilles humaines. Le son vient de l'extérieur du village, plus loin sur la colline boisée.

Tout d'abord je tente de repérer à vue d'oreille l'endroit ( ou du moins la direction et la distance ) exact d'ou pourrait provenir cettte musique , m'approchant un peu si nécessaire .

Ensuite , si il me semble qu'elle n'est pas à plus de 600 m je me dirige vers elle avec précaution . ( à curiosité quand tu nous tient ! ) .

Dans le cas contraire , je me rend chez Hercantos en frappant à la porte principale .
Si il se trouve que j'ai faim j'attend de demande à Hercantos , sinon j'irais me nourrir en sortant de chez lui .

(PS : j'ai posté ma feuille de perso au cas où ...)

La musique est celle tirée d'une lyre, elle provient de la profonde forêt enténébrée qui recouvre l'arrière de la colline de Microthalos, au-delà d'un pré où les bergers ont coutume de faire paître leurs bêtes.

Pour en savoir plus il faudrait s'avancer seul dans les bois...

Concernant la soif de sang, Arménios n'est pas entièrement rassasié mais il est encore capable de se maintenir.

[HJ] Je rappelle qu'il n'est pas vraiment utile d'avoir toujours sa jauge de points de Vitae entièrement remplie. L'important est qu'elle ne soit jamais vide (ce qui entraîne la Torpeur). [/HJ]

Bon , aprsè avoir fait 500m dans la direction de la musique , je me dit que ça mange pas de pain d'y aller voir discretement , juste jeter un coup d'oeil derrière un fourré en somme !!

Après environ cinquante mètres supplémentaires, la musique s'arrête brusquement. L'oreille surnaturelle d'Arménios capte des murmures, si faibles qu'il ne parvient pas à en comprendre la teneur.

Des bras dans les hautes herbes des sous-bois, devant lui. Du mouvement. Plusieurs personnes (ou créatures...) se déplacent dans ce qui semble être une clairière, un peu plus loin devant car le voyageur aperçoit une zone où les branches s'écartent pour laisser apparaître un croissant de lune jaune.

Conteur a écrit:

Des bras dans les hautes herbes des sous-bois, devant lui. .

Des bras ?? Je ne comprend pas très bien ??

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Quand la musique s'arrêre , je m'arrête aussi de peur de m'être fait repperer , puis je tente de contourner la clairière à pas de loup ( en utilisant celerité pour aller "rapidement" à pas de loup si c'est^possoible te si tu voit ce que je veut dire ) .

Ensuite , de l'autre côté je m'approche et me planque dans un buisson donnant sur la clairière pour essayer d voir ce qui s'y passe ( en utilisant discrétion+dissimulation au besoin ) .


PS : ma dague est degainée au cas ou ... avec tous ces garous qui rôdent !!

Arménios ainsi dissimulé voit un groupe de créature dans la clairière. Certains semblent humer l'air, comme si elles cherchaient un parfum dans la brise.

[HJ] Tu voyais des bras parce qu'il y avait des gens qui levaient les mains et de loin tu ne voyais que ça. J'étais pas clair [/HJ]

L'un des membres de l'assemblée, composée d'une dizaine d'individus, se recroqueville à terre et pousse des grognements. En quelques instants, sa forme se met à changer... des poils poussent, des oreilles montent en pointe, les mains se déforment...
La créature s'est changé en chien.

Un grand chien blanc au long poil soyeux, un chien de berger, solide etvaillant, au regard intelligent. Il jappe deux fois. Les autres le regardent, suivant ses mouvements avec attention, ils arrête de humer les alentour ou de fouiller des yeux les broussailles.

« Il faut nous remettre en quête, murmure une grande fille brune aux cheveux bouclés. Nous devons quitter les clairières et redevenir des nomades, comme les protos. Les Changeformes puisent leur force dans le mouvement, comme l'eau ! »

Le chien jappe à nouveau et regarde directement dans la direction du buisson derrière lequel se cache Arménios.

Tant que le chien reste ainsi , je reste totalement immobile , si il s'avère qu'il s'approche du buisson , je tente de reculer à sa vitesse .
Si par malchance il en vient à me découvrir, alors je me dévoile et pose mes armes .
De plus , j'utilse un point de sang pour prendre un aspect plus "humain" . ( pour auspex , je sais plus si le niv 1 c'est pour cacher l'aura ou la detecter ) .

Les garous repèrent Arménios et entament un dialogue tendu avec lui.

Il se trouve que ce groupe ne reconnaît pas la trève posée entre les Ombres de Microthalos et les garous des environs. Ils acceptent cependant de laisser partir l'intru sans faire de vagues.

Arménios, en tant que Mékhet, perce l'obscurité des sous-bois et distinguela silhouette de Miet, derrière ses interlocuteurs, dont une jeune femme, une certaine Katharina, belle et charismatique, qui semble disposer d'un certain ascendant sur ses compagnons.

Forcé de s'éloigner, Arménios retourne au village pour y retrouver le philosophe. Avec son jeune disciple mortel, Herkantos accueille le voyageur chaleureusement.